Il y a quinze jours, je vous transmettais mes objectifs 2019. Sauf qu’il y a eu un changement de programme, très positif.
Edition :
- J’ai signé un contrat d’édition avec Mondes Futuristes pour « La Terre des héros, tome 1, Héritage ». C’est un nouveau tournant dans ma vie d’écrivain que je suis heureuse d’expérimenter.
- Par conséquent, j’ai dû relire et corriger des petits éléments qui coinçaient dans le texte, ainsi que des coquilles et des fautes qui traînaient. Mea culpa pour ceux qui les ont vues, je suis sincèrement désolée.
- La couverture subira quelques petites modifications, comme le logo de l’éditeur et la 4e de couverture par exemple.
- J’ai découvert que « Héritage » était dans le top 40 des ebooks de fantasy sur Amazon. J’en suis très fière.
Écriture:
- « Ma chère Louise » avance assez bien : plus de 1400 mots ce mois-ci, avec les tâches rajoutées entre temps, cela donne un bon bilan.
- J’ai découvert plein de documentaires, et documents, sur la Première Guerre mondiale (ici et ici). Je regrette juste que certains ne soient accessibles qu’aux archives départementales. J’avoue que je manque un peu d’info sur la vie à Dijon à cette époque (flambée des prix, usines produisant pour l’armée, etc.).
Le Salon du livre romand
- Je prépare mon salon du livre de Fribourg. Pour cela, j’ai eu la mauvaise surprise de voir que KDP, depuis janvier 2019, ne me permet plus de recevoir chez moi mes exemplaires d’auteurs. Amazon avance des arguments douaniers, mais en revanche, j’ai le droit de commander des exemplaires en tant que cliente. J’avoue ne pas comprendre la manœuvre, d’autant plus que les points relais ne sont pas disponibles pour cette commande. Si à l’avenir je dois autoéditer d’autres livres, je réfléchirai à passer par une plateforme ou un imprimeur. Encore une fois, les gros se font la guerre, et ce sont les petits qui trinquent…
- Toujours dans le cadre de mes salons, j’ai décidé de commander un dispositif de paiement par carte. À Colmar, j’ai dû renvoyer plusieurs personnes vers le distributeur (qui du reste est tombé en panne) au risque de perdre des ventes. En France, les gens prennent de moins en moins le chéquier avec eux, en Suisse, ça n’existe même pas.
- Je participerai également avec mon association à un débat autour du thème de la littérature de genre en Suisse.
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