Progressions

Bilan du mois de février

Le mois de février a été assez mouvementé et chargé en raison d’un gros changement imprévu. J’ai tout de même avancé dans mes projets :

  • Sortie de Ma chère Louise

La réédition de Ma chère Louise est l’évènement du mois. Vous pouvez désormais retrouver mon roman en papier et en numérique dans toutes les librairies.

  • Fin des corrections et premiers envois

Comme je l’avais annoncé, j’ai terminé les corrections et la réécriture de La dernière Bétyle pour la soumettre à trois éditeurs avant que leur créneau ne ferme. C’est un peu particulier, car je ne suis pas passée par la case bétalecture pour ces versions à cause des délais. Ce n’est pas une chose à faire, mais sinon, cela repoussait tout à un an. Je vais maintenant les soumettre à l’exercice avant de commencer la prochaine vague d’envoi.

  • Début de la rédaction d’une nouvelle

Je prépare un nouveau texte : une nouvelle d’anticipation sur le thème des rêves. J’aime beaucoup le projet et mon idée, mais je suis un peu à la bourre. Je viens seulement de commencer sa rédaction, et je dois rendre ma copie d’ici fin mars. Du boulot en perspective.

  • Retour à la fac.

C’est le gros dossier du moment, et je ne vous en avais pas encore parlé. Depuis un moment, je cherche à avoir une activité en parallèle de l’écriture, pour plusieurs raisons. Avec mon mari, nous avions décidé que je me consacrais entièrement à l’écriture jusqu’à ce que ma fille soit en 3 h (équivalent du CP en Suisse). Ce qui est le cas aujourd’hui. L’année 2023 et ses déboires m’ont convaincu qu’il m’était nécessaire de travailler à côté et de sortir un peu de la maison. J’ai donc semé plusieurs graines et l’une d’elles a germé. En septembre, je commence une formation pour être professeur dans le secondaire 2 (équivalent du lycée). Il faut choisir deux matières à enseigner, j’ai pris l’histoire et la science des religions. Si je n’ai aucun souci pour la première, on m’a demandé de suivre un semestre complémentaire pour la seconde. C’est un peu idiot, car je dois suivre un semestre niveau licence alors que l’université reconnait mon master. Mais, bon, pas le choix.

Entre les exposés et les articles de recherches à produire, je vais être nettement moins disponible ces prochains mois pour écrire. Je ne compte pas abandonner, bien au contraire, mais je vais ralentir l’écriture le temps de la formation. L’idée est d’avoir à terme un travail avec un temps partiel qui me permette d’écrire plus sereinement.

  • Préparation des salons

Ralentir, certes, mais tout en honorant les salons dans lesquelles je suis inscrite. Comme je ne savais pas que je serai autant prise en février, je m’étais engagée à donner un coup de main au Gahelig pour le salon du livre de Genève. De quoi m’occuper également.

Au programme du mois de mars :

– Le Marché Médiéval de Fribourg, les 8 et 9 mars

– Le Salon du livre de Genève, les 21-22 et 23 mars.

                                                         

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