Progressions

Bilan de juin 2020

Juillet est arrivé, et avec c’est non seulement un mois qui se termine, mais également une année scolaire franchement bizarre. Juin a eu ses hauts et ses bas, dont voici un aperçu :

  1. Relecture et second jet.

Ce mois-ci, j’ai relu Le crépuscule de l’aigle  pour rajouter les éléments qui manquaient à la trame. Cependant, je sens que je dois encore retravailler la forme pour donner plus d’ampleur aux sentiments des personnages. Fidèle à moi-même, j’ai encore changé le nom de deux personnages principaux. L’un de deux avait un nom qui ressemblait trop à un autre à l’oreille.

J’ai aussi pu visiter l’exposition temporaire du Musée archéologique de Lausanne : Aux sources du Moyen-âge. Très intéressante, elle traite justement de cette période de transition entre l’Antiquité et le Moyen-âge, cadre de mon roman Le crépuscule de l’aigle . D’ailleurs, le livre lié à cette exposition m’a beaucoup servi pour mes recherches.

 

  1. Une relecture en vue d’une publication.

Je dois rendre la version finale du tome deux de La Terre des héros en vue d’une publication. Je dois vous avouer que c’est mon tome préféré. J’ai adoré voyager sur les terres érannes et Gandaar est mon personnage secondaire favori. Je suis fière de ce tome, et c’est étrange de le relire après plusieurs années. J’y ai repéré des petits défauts (essentiellement dans les tournures de phrases). Dans Trahison, mon style évolue pour se rapprocher de celui que je connais désormais. C’est assez amusant de le constater. Si vous voulez découvrir la trilogie, elle existe en numérique et en papier.

 

  1. Nos cœurs noyés

Pendant ce temps, Nos cœurs noyés a été conquis son public surtout sur instagram. Les lecteurs aiment le voyage, l’histoire rafraîchissante et les personnages malgré le format court. Pour les curieux, c’est ici.

 

  1. Une rupture de stock

Les lecteurs de Ma chère Louise sont plus timides, pourtant, France Loisirs s’est retrouvé en rupture de stock quelques jours ce mois-ci.

 

  1. Salons et annulations

C’est ma bête noire du moment, plusieurs salons sont annulés d’ici la fin de l’année. Je trouve cela dommage autant pour des raisons professionnelles tout d’abord, parce que les salons représentent une part importante de mes revenus liés aux livres, et humaines ensuite. J’aime le contact avec le public, discuter autour de mes livres, rencontrer les collègues et l’ambiance des salons du livre. Cette année est vraiment compliquée pour les artistes, mais il faut se faire une raison.

 

Et vous ? Comment s’est passé votre mois de juin ?

 

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