Bilan de mars 2022

C’est parti pour un nouveau mois, et donc un nouveau bilan. Mars vient de se terminer et voici ce que j’ai fait:

•  Des commandes

Vous êtes de plus en plus nombreux à passer commande pour Le Crépuscule de l’aigle sur ma boutique. J’en suis ravie et c’est avec plaisir que je vous envoie mon livre dédicacé. Mon livre a également trouvé une place dans la boutique du musée romain d’Avenches. Vous êtes aussi nombreux à porter de l’intérêt à cette période de l’histoire, ce qui me conforte dans l’idée de faire découvrir des sujets moins connus en histoire.

• Salon du livre antiquité

On ne peut pas gagner à tous les coups, c’est ce que m’a rappelé ce week-end lyonnais. Peu de visiteurs, un intérêt marqué pour les encyclopédies mythologiques et la philosophie plus que les romans : mon bilan est mitigé. Ajoutons à cela un centre-ville bloqué par une manifestation et salon qui ne s’étend pas sur le dimanche et vous obtenez une conjoncture compliquée. C’est aussi un peu de ma faute : je n’ai pas osé prendre avec moi La Terre des héros, car relevant de la fantasy. Pourtant ce roman aurait plu, d’ailleurs, j’ai distribué plusieurs marque-pages dédiés à ma trilogie. La mise en valeur de la mythologie dans ce roman a intéressé plus d’un visiteur. Dommage, ce sera pour une prochaine fois. Cela dit, j’ai fait de superbes rencontres d’auteurs et de lecteurs !

• Attila le Hun

Vous êtes nombreux à avoir lu mon article : « Attila le Hun»  et le mois précédent, « Les Burgondes » a également attiré plusieurs lecteurs. N’hésitez donc pas à me suivre pour toujours plus d’articles sur l’histoire.

•  Rien que toi et moi (et nos filles)

J’ai été traversée par un dilemme. Mon roman est actuellement écrit à la 1^e personne du singulier, au passé simple. Je sais que les lecteurs et lectrices de romances préfèrent le présent, alors j’ai voulu tout retranscrire au présent. Arrivé au quart, c’est une évidence : ça ne convient pas à mon histoire. Tant pis, je laisse comme ça, on verra si ça vous plaira.

• Les trois couleurs du printemps

J’ai fini par mettre le doigt sur ce qui bloquait l’écriture de mon roman, et c’est le même phénomène qui m’avait gêné lors de la rédaction du Crépuscule de l’aigle : je n’ai pas donné assez de place à l’antagoniste. Je voulais que le narrateur suive les protagonistes et que l’on rencontre l’antagoniste à travers eux, mais ça ne fonctionne pas. Pour le rendre moins cliché, jouer avec cette frontière entre le Bien et le Mal comme je l’aime, je dois lui consacrer des scènes entières. Et c’est reparti pour insérer des éléments, modifier ou encore effacer avant de poursuivre la seconde moitié. Avec 25 pages écrites ce mois-ci, il continue d’avancer.

• Lecture

Ce mois-ci, j’ai dévoré le tome 3 de la saga Les enfants d’Aliel . Ça faisait un moment que je n’avais pas lu aussi vite. Pour le moment, c’est mon tome préféré avec des scènes au visuel immersif. J’attends avec impatience de commencer le tome 4 !